Prenom :
On l'apelle Vanilla, son vrai nom est secret
Âge :
14 ans
Camp choisit :
Aucun, sa ne la regarde pas
Race :
Inu
Physique :
Le teint allé, Vanilla a de longs cheveux bruns aux doux reflets blonds dorés légéremment ondulés qui retombent dans le bas de son dos, couronnés de deux grandes oreilles de toutou toute mignones et soyeuses qu'elle prend toujours beaucoup de temps à entretenir et qui contredisent ses yeux bleu marine pétillants de malice et profonds aux longs cils. Elle a une bouche aux fines lévres et un joli nez légéremment retroussé. Sur son visage est reflété une joie de vivre éxubérante et une généreusité certaine. Vanilla a des traits fins et est élancée, mais son grand complexe : sa taille ! Elle ne mesure pas plus d'un mettre cinquante-cinq, ce qui la préoccupe depuis déjà quelques temps. Côté vestimentaire, un T-shirt et un short en jean font son apparence, Aussi s'attachet-elle souvent les cheveux en queue-de-cheval pour éviter qu'ils ne lui gêne le visage, mais elle a toujours une ou deux méches rebelles devants les yeux.
Mental :
Toujours en train de rire, de faire des blagues, à vouloir jouer de mauvais tour, courir dans tout les sens ! Vanilla est d'un naturel bavard, surexitée et ne tient pas en place. Malgrés ce côté casse-cou, elle est très généreuse et n'hésite jamais à donner aux autres ; elle est très compréhensive. Ceci dit, elle a aussi un petit côté très manipulateur voir légéremment sadique, mais déteste voir les autres soufrir et vient très souvent en aide ; Elle a un sens certain de la justice. Elle a toujours besoin d'aller vers les gens pour entamer une conversation, cependant elle reste toujours un peu méfiante. Pourtant, elle adore faire de nouvelle conaissance, mais elle a appris à faire attention. Pourtant, lorsqu'il s'agit de nourriture, elle se fiche de tout et devient très naïve, c'est un peu son point faible. Elle n'est pas peureuse et est même assez téméraire, elle adore découvrir de nouvelles choses.
Histoire :
4 ans avant la naissance de la petite Sofia Mc Tears.
Sa future mère rencontre un inu. Sa première réaction est de le rejeter ; elle a peur, c'est effrayant, d'ailleurs la différent ne peut que terroriser ceux qui n'ont vus dans leur vie que leurs semblables. Mais, habitant dans la maison voisine, elle ne peut pas l'éviter. Avec le temps, elle apprend à le connaître et elle en tombe rapidemment amoureuse, tombe sous le charme de ses mots. Leur relation est profonde : elle est la seule qui veuille de lui, à l'écouter, c'est la seule à le comprendre et pourtant elle était comme les autres... Mais l'amour ne se limite pas aux apparences, c'est une leçon qu'il a faillit tiré par une expérience. La jeune femme participe à des réunions secrétes qui devraient agir contre les rejets des nekos, inu et unagi par la société des simples humains incompréhensifs. Elle vit beaucoup de tourments. N'est-ce donc pas compréhensible ? Elle-même était répugné par cette espéce avant de tomber amoureuse de l'un deux. A prèsent, elle ne peut plus l'accepter, et fait passer à la presse un article d'elle-même et son amant, sans négligeait le fait qu'elle-même détestait les inus avant. Cet article déteint sur beaucoup de personnes ; mais, on ne peut pas changé le monde, alors certains et même un grand nombre restent indifférent à leur amour. Ils y en a même qui protestent un pestant que cette alliance est interdite. Mais rien ne peut plus arrêter un amour aussi passionel et sincére.
Trois ans plus tard, alors qu'elle tombe ensceinte. Le plus beau des cadeau pour une femme : un être né d'une alliance avec un homme qu'elle aime plus que tout. Hélas, quand les médias apprennent la première alliance des deux espéce, une guerre civile est enclenchée entre ceux qui approuvent et ceux qui l'interdisent... Et bien sûr, il doit y aller, se sentant responsable. Avant de partir, il affirme à sa femme : "Nous n'aurions pas du. Je regrette. Tu es peut-être ce qui m'est arrivé de pire". Parceque dans ce pays, personnes ne l'aiment mais lui a vécu ici alors il aime ce pays et va le défendre en grès et contre tout il abandonne sa famille en leur fesant la triste et sombre promesse de revenir, malgrès qu'il éprouve à présent une haine envers-luimême : il s'en veut d'avoir aimer cette femme, il n'aurait pas du. Il méne une dure guerre pendant laquelle il se rend compte que jamais il n'aurait du dire sa : c'était faux... Mais il le comprit à sa mort, à son dernier soupire, à sa dernière images d'elle.
Vous conaissez la suite de l'histoire ? Il ne revient pas à la maison, bien sûr. Sa femme déteste tout chez cet homme qui l'a abandonné, lui qui lui a ouvert les yeux et a changé sa vie... A l'accouchement, elle rejette violement son enfant en critiquant tout son être. Elle sort de l'hôpital, tenant le bébé dans ses bras avec dêgout, comme quand elle a rencontré son père. Des images de lui lui reviennent quand elle voit cet enfant. C'est affreux, sa la dégoute, un sentiment de désir de tout foutre en l'air. Quelle est la solution ? Il faut le tuer... Le tuer. LE TUER. La seule solution, c'est tuer cette chose, elle ne devrait pas exister ! Nous sommes le 25 août 1991, et Marine Mc Tears se suicide après avoir tenté de tuer son enfant en l'étranglant, puis qu'elle abandonne sous une pluie battante. Il est sauvé de justesse.
Quelques années plus tard, Sofia quitte le petit orphelinat dans lequel elle a passé 12 ans ou plutôt y est incitée à le quitter ; plus de mal et de peine que de joie, mais elle garde espoire : après tout, le monde s'ouvre enfin à elle, l'occasion de vivre comme elle le sentait. Quoi de pire que ces femmes issues de milieux aisé et respectable qui vous regarde avec ce mépris dans les yeux ? Que la "gentilesse" des passents qui vous donnent une pièce lorsque chacuns de leur gestes sentent la pitié ? Que ces lits d'une couverture fine et d'un matela creusé et sale qui vous laisse trembler l'hiver ? Ou encore, ces corvées injustes et bien trop dures pour de jeunes enfants qui vous font saigner entre chaques doigts et même de la paume de la main... Mais l'espoire de Sofia était là : son meilleur ami Mickael avec qui ils s'étaient promis de quitter l'orphelinat ensemble. C'était un jeune Neko âgé d'un an de plus, prévenant et généreux qui transportait toujours avec lui une bonté et une joie de vivre transmisible. Comme elle, il avait été rejetée par sa mère. Comme elle, il espérait que la vie, un jour peut-être, lui fasse don d'une famille et d'une liberté.
Le problème fut qu'un jour, alors qu'ils se préparaient tout deux à fuger, qu'ils avaient prévus un plan, survint l'impossible et l'inimaginable : un couple voulut l'adopter. C'était un couple de Neko qui tard dans la nuit après avoir perdu leur enfants étaient en larmes et leur avaient demandé l'adoption. Mais ils urent le coup de foudre pour la petite bouille de Mickael, et prétendérent qu'ils adopteraient une semaine plus tard la petite Sofia afin qu'ils soient tout deux sous le même toit, mais que ce soir, c'était impossible. Alors, cette dernière attendit avec espoir. Son seul espoir. Enfin, Dieu lui envoyait la réponse à ses priéres.
Mais ils ne vinrent jamais. Elle désespérait : que devait-elle faire ? Attendre éternellement ? Elle essayait de se convaincre de la possibilité qu'ils aient eu un empêchement. Mais Mickael aurait insisté, non ? Que se passait-il ? La jeune Inu ne croyait plus en rien. Ni à l'honnéteté des gens, ni à leur promesses... Ni à la fidelité de son meilleur ami, même pas à cette amitié si forte qu'il lui avait permis de survivre malgrés brimades et autres souffrances. Ils avaient connu ensemble les mauvais traitements de l'orphelinat, les promesses d'un jour voir le soleil dans la pluie battante qu'était leur vie... Et avaient faillit s'en sortir ensemble, vivre ce rêve qu'ils avaient partagés. Il ne restait plus rien à Sofia, ni l'amitié, ni l'espoir. Alors, tentons le tout pour le tout et échappons-nous.
22 mai 2006, 01:05
Les Inu, Neko et autres ont d'instinct animale une agilité et une force qui leur sont particuliéres. Sautants de cheminées en cheminées, elle était comme une ombre silencieuse dans la nuit. Son seul probléme était de savoir où aller après, mais elle s'en ficher : rien ne serait pire qu'ici, alors... Elle se connaissait, et savait qu'elle chercherait Mickael. Sûrment finirait-elle dans la rue, comme une petite voleuse. Mais sa faisait quelques semaines qu'elle s'y préparer, et elle avait sur le dos un petit sac comprenant un peu de nourriture volée dans les cuisines pauvres, et un peu d'argent (pas plus de mille yens). Lorsqu'elle se retrouva en dehors de l'orphelinat, la pensée qu'il n'était pas trop tard pour y retourner lui traversa l'esprit lorsqu'elle se visualisait tout ces visages qu'elle ne reverrait plus. Mais elle devait faire sa route, il était trop tard, maintenant. Elle se mettait en route vers la ville la plus proche à la recherche d'un abrit pour finir cette nuit fraîche de printemps. Il était quatre heures lorsqu'elle trouvait une place sur un vieux matelas délavé lessé à côté de poubelles d'un petit restaurant "à la française". Elle s'endormit, l'esprit hanté par les sombres pensées qui suivent la perte d'un ami qui vous ais cher. Le lendemain, réveillé par les odeurs du petit resto, elle s'approcha et consulta la carte : c'était cher. Elle jetait un coup d'oeil sur les plats délessé des clients qui ne pouvaient finir leur assiette et de manière discrétement vida les assiettes dans son petit sac. Elle parcourait la ville en dégustant son maigre repas, et s'arréta net. Une petite famille bourgeoise entrait dans une petite boutique plutôt chic de vêtements. Elle eut un mauvais présentiment et presque malgrès elle les suivait. Comme elle l'avais sentit : Mickael et ses deux parents qui, à lévidence, s'étaient vites remit de la mort de leur dernier enfant. Un sursaut d'humeur direz-vous mais, elle less approcha et le tira par la manche. Consultant son visage presque étonné et appeuré, elle vut qu'il mit un certain moment à la reconnaitre. Leur disussion furent bréve, blessante, la vérité éclata, des larmes coulérent, ce jour resta gravé. "Une occasion pareille, je pouvais pas passer à côté. Et je voulais pas partager." Bien sur qu'elle comprenait. Mais son meilleur ami, elle, ne lui orait jamais fait sa. Il était donc comme sa mère ? Lui aussi n'avait pas besoin d'elle. Personne n'avait besoin d'elle, elle était inutile. Alors en larmes, elle passa le reste de la journée à héré dans les quartiers pauvres de la ville, les questions lourdes et douloureuses emcombrant son esprit brouillé par un voile de tristesse. Elle devait mourir, ou quoi ? Etait-ce le souhait de tout le monde ? Ses parents, les gens de l'orphelinats, Mickael, ces passants qui la regardaient... Oui, ce regard... Personne ne la verraient jamais autrement. Puis au soir, elle s'installa dans un petit coin déserté : c'était une sorte de cabane en argile un peu sale voir dangereuse à vivre, mais dans lequel il n'était pas impossible de vivre, après tout. Elle décidait de se donner une nouvelle chance, et croire en l'espéce qui avait gaché sa vie : l'homme.
But :
Avoir une famille, connaitre une vraie amitié et... Survivre ?
Amis & amour :
On verra ça sur le RP x)
Armes :
Elle a de bonnes mains et à réussit à ce sculter un petit poignard tranchant, rien de plus car elle est assez forte aux combat à mains nues (rapidité, agilité, esquive...)
Jeu 15 Mai - 17:25
